Le programme de Médecine vétérinaire forme des spécialistes du diagnostic, du traitement et de la prévention des maladies animales. Les étudiants y apprennent l’anatomie, la physiologie, les pathologies et les méthodes thérapeutiques appliquées aux animaux domestiques, d’élevage et sauvages. La formation combine l’enseignement théorique et l’acquisition de compétences pratiques en soins vétérinaires.
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Basique
niveau de formation
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Médecin vétérinaire
qualification
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5 ans
durée d’études
À l’issue de la formation, le diplômé en Médecine vétérinaire doit maîtriser :
- l’anatomie et la physiologie animale — structure des organes et des systèmes du corps de différentes espèces et leurs fonctions spécifiques ;
- les bases de l’anatomie et physiologie pathologiques — changements dans le corps animal en cas de maladies ou de traumatismes ;
- les symptômes cliniques et les syndromes — identification des signes de maladie chez les animaux ;
- les principes du diagnostic — méthodes d’examen cliniques, de laboratoire et d’imagerie en pratique vétérinaire ;
- les méthodes de traitement — approches thérapeutiques, chirurgicales et préventives ;
- la pharmacologie — médicaments vétérinaires, posologies, contre-indications et effets secondaires ;
- la prévention des maladies — vaccination, mesures d’hygiène, contrôle épizootique ;
- les soins d’urgence — interventions en cas de blessures, infections aiguës, et d’autres états critiques ;
- les bases juridiques et éthiques de l’activité vétérinaire — réglementation du traitement des animaux ;
- l’épidémiologie et des infections zoonotiques — prévention des maladies transmissibles de l’animal à l’homme ;
- les bases de la gestion d’une clinique vétérinaire.
Les vétérinaires sont recherchés dans de nombreux secteurs :
- cliniques vétérinaires publiques et privées ;
- exploitations rurales s et agriculture industrielle ;
- laboratoires d’expertise vétérinaire et sanitaire ;
- zoos, centres d’élevage et de réhabilitation animale ;
- instituts de recherche et laboratoires vétérinaires ;
- services sanitaires et épidémiologiques ;
- facultés vétérinaires des universités et des collèges ;
- organismes gouvernementaux de contrôle de l’élevage et de la quarantaine ;
- entreprises de fabrication de médicaments vétérinaires et d’aliments pour animaux ;
- organisations à but non lucratif œuvrant pour la protection animale.