
Les 18 et 19 avril 2025, des expositions éducatives ont eu lieu au Royaume du Maroc, dans les villes d’Oujda et d’Agadir, qui sont devenues un véritable carrefour de rêves et de décisions. Dans ces villes marocaines, où la saveur orientale cohabite avec une volonté ambitieuse de progrès, se sont rassemblés ceux qui pensent sérieusement à l’avenir : lycéens, parents, diplômés d’écoles. Chacun avec sa propre histoire, son espoir, ses questions. Les accents des différentes régions du monde se sont mélangés : non seulement les universités nationales du Maroc ont participé aux expositions, mais aussi des institutions étrangères de Russie, de Chine, d’Inde, d’Égypte, du Canada, de Finlande, de France, des États-Unis, du Sénégal et d’autres.

Le stand « Étudier en Russie – 2025 », présenté par les membres du bureau de représentation de RACUSMAROC, est immédiatement devenu un point d’attraction. Mais il n’était pas seulement question d’affiches colorées et de brochures. Il était question d’atmosphère ! Ici, on ne parlait pas seulement de médecine, d’ingénierie ou de technologies de l’information. Ici, les questions les plus importantes ont trouvé leur réponse : « Est-ce que je vais réussir ? », « Est-ce que cela en vaudra la peine ? », « Quelle est la prochaine étape ? »

Les brochures, soigneusement disposées sur les tables, ont trouvé instantanément leurs propriétaires – chacun était pressé d’emporter un morceau du nouvel avenir. Les souvenirs avec les symboles de l’organisation RACUS sont devenus non seulement un cadeau agréable, mais un souvenir du premier pas – un pas vers la bonne décision d’entrer dans une université russe qui changera votre vie.

Oujda et Agadir sont des villes à part entière. Dans ces régions du Maroc, l’intérêt pour les spécialités médicales, agricoles et d’ingénierie est grand – ce n’est pas un hasard si ces programmes ont été les plus demandés au stand. Il y a eu des échanges sur la durée des études, les frais abordables et, bien sûr, sur la possibilité d’étudier en russe, en français et en anglais.

Le thème de l’emploi après l’obtention du diplôme a particulièrement retenu l’attention des visiteurs de l’exposition. En tant que directeur général de l’organisation RACUS, A.H. Nutsalov a souligné que le monde connaît une augmentation rapide du nombre de personnes qui étudient à l’étranger – aujourd’hui, 6,5 millions d’étudiants étrangers étudient dans des pays étrangers, mais d’ici 2040, leur nombre augmentera à 10 millions. Bien que le Maroc dispose d’un grand nombre d’universités publiques et privées, l’intérêt pour l’enseignement étranger reste constamment élevé. « Cela s'explique par le fait qu’un diplôme d’une université russe donne au diplômé un poids supplémentaire sur le marché du travail, et les normes de qualité rendent l’enseignement supérieur obtenu en Russie compétitif au niveau mondial », a-t-il expliqué.

Il est important de souligner que de nombreux participants de l’exposition ont partagé des témoignages de membres de leur famille ou de connaissances qui ont déjà obtenu un enseignement supérieur dans les universités d’État russes du groupe RACUS. Ces histoires ressemblaient à des recommandations personnelles : chaleureuses, confiantes, précises.

Le résultat ? L’un des invités, en quittant l’exposition, a déclaré : « Je suis venu juste pour regarder, mais je suis reparti avec un billet pour un avenir prospère. » Il n’est pas possible de dire mieux. Nous sommes reconnaissants à tous ceux qui ont partagé cette journée avec nous, pour leur confiance et leur désir de connaissance – ce sont précisément de telles rencontres qui deviennent le début de grands voyages.
